Versac avait déjà lancé la discussion avec “Ami étudiant“. Suite à son invitation, Gizmo enfonce le clou dans “Etudiant, je descendrai dans la rue avec toi quand…“.
Eh beh, ça donne pas vraiment envie d’aller rejoindre les profs de l’enseignement supérieur. Car c’est, en secret (euh, ben plus maintenant) que je nourris l’envie future de pouvoir diversifier ma carrière en devenant, à temps partiel, enseignant dans mon domaine de prédilection, l’informatique. Au vu de l’extrême qualité des université françaises, on perd rapidement envie d’aller les rejoindre. Car dans le style parcours du combattant, j’ai déjà un boulot à plein temps.
Je suis devenu grand dans un contexte d’enseignement supérieur où même les frais de scolarité n’avait pas évolués depuis 20 ans. J’imagine que ça a changé depuis, du moins je l’espère. Mais au moins, on avait un certain niveau de qualité dans les université québécoises qui ne semble pas avoir son équivalent ici. Il faut dire que j’ai tout de même un peu de difficulté à comprendre comment ça marche, ici. Que viennent faire les grandes écoles là dedans ? Pourquoi deux systèmes.
Quelqu’un voudra peut-être m’expliquer…