Il fallait que je sois en confinement pour m’en souvenir.
Il fallait surtout que je trouve un vecteur autre que les véhicules à conneries habituels (Twitter, Facebook, etc), où l’on trouve un récolte de bêtises, pour pouvoir m’exprimer de façon plus ou moins claire.
Bon, vu l’audience, ça va demeurer confidentiel, mais pourquoi pas. Les mots que je laisse sont plus pour moi que pour les autres; pour me souvenir, pour laisser quelque chose derrière.
Ce soir il est tard. Je vais tenter d’y revenir de façon régulière. Nous sommes confinés depuis déjà quatorze jours. Et vu ce qui s’annonce, j’aurai le temps de laisser quelques messages.