Entendu de loin : L’échec du matériel de Daniel Bélanger

Voici un auteur compositeur dont vous n’avez probablement pas entendu parler. Normal, il est talentueux. Normal, il est québécois.

Ma môman m’a ramené “L’échec du matériel“. Pas la peine de le chercher à la FNAC. Pas pour rien que je vous file l’URL sur Amazon.ca

J’ai entendu Daniel Bélanger en 1992, à bosser sur la plate-forme de forage Hibernia, sur CHOM-FM Montréal à l’époque. Opium fut ma première rencontre avec lui : quel choc ! Ca c’était “Les insomniaques s’amusent”. Puis vint “Quatre saisons dans le désordre”, un autre bel album. Puis je suis parti vivre en France et laissé DB un peu derrière.

Récemment, au fil du WEB, j’ai vu qu’il avait créé d’autres albums depuis. Ma môman a eue la gentillesse de me m’envoyer “Deflaboxe”. Curieux travail qui m’a tout de même bien accroché. Il reste un de mes favoris pour les transports en communs en région parisienne.

Enfin, L’échec du matériel est en train, lui aussi, de devenir un standard dans ma bibliothèque. Je crois bien que je vais bientôt me récupérer “Rêver mieux”

Tout de même, je ne comprends absolument pas pourquoi on nous lance des Nathacha St-Pierre et autres bêtises insipides dans les pattes plutôt que de nous présenter Daniel Bélanger en France. Il n’a peut-être pas envie de venir faire un tour ici. Enfin, il est pour moi incontournable dans le paysage musical québécois.

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